Quand la diva veut se sentir au top | PV ALWINE |

Invité

C'était un matin comme les autres, une journée banale dans la vie de Calypso. Tout d'abord, le soleil s'était levé sur la ville, et ses rayons étaient entrés tout doucement par l'immense fenêtre du gigantesque penthouse que la jeune femme possédait. Quand l'astre solaire était venu caresser le visage endormi de la belle, elle avait plissé le nez, serré les paupières, puis ouvert les yeux sur son énorme chambre. Elle avait balayé la pièce du regard, admirant la toile à prix d'or qui ornait le mur devant elle, appréciant la couleur rose clair des murs, aimant sa coiffeuse en bois de rose hors de prix, enroulant ses doigts dans les draps de satin et caressant la grosse douillette rose foncée qui couvrait son lit. La jeune starlette aimait le rose ...

Se redressant légèrement, elle avait ouvert la bouche pour bailler, puis, de sa voix douce et matinale ...

C a l y p s o - «LINDAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !»

Elle avait hurlé le nom de sa suivante qui était entrée aussitôt pour répondre aux moindres caprices de sa protégée. Cette chère vieille Linda était dans la famille depuis des lustres. Ou du moins c'est ce qu'il semblait à la benjamine de ladite famille ! En fait, la suivante n'avait qu'une cinquantaine d'années, bien qu'elle en paraisse au minimum 10 de plus. C'est qu'il n'était pas toujours de tout repos de s'occuper de Calypso et de ses nombreuses frasques ... C'était une gentille dame, donc, qui maîtrisait parfaitement les arts martiaux ... mais qui s'arrêtait là. Elle pouvait mettre k.-o. quiconque tentait de s'en prendre à sa chère Caly' ... en autant que ce dernier n'utilise pas d'arts occultes. Auquel cas elle ne servait plus à rien. Mais sa détermination et l'affection sans borne qu'elle portait à la jeune femme pouvait faire bien des miracles ...

En entrant dans la grande (Grande ? Que dis-je ... la colossale, la grandiose, la spacieuse !) chambre de Calypso, Linda camoufla son sourire devant les airs d'enfant gâtée de celle qu'elle considérait comme sa fille et demanda gentiment ce qu'il y avait, comme à tous les matins. Et Calypso se mit à déballer tout ce qui n'allait pas, comme à tous les matins.

C a l y p s o - «J'ai fait un cauchemar. HORRIBLE. Mon dernier film était un flop et tous mes fans me reniaient ! TU TE REND COMPTE LINDA ??? Et puis j'ai un bouton sur le nez. Je le sens qui pousse Lili, je le sens ! Et puis il fait chaud. Tu pourrais ouvrir la fenêtre ? Et puis ...»

Et elle continua comme ça pendant encore un trèèèès long moment. Heureusement que Linda était patiente ! Et comme chaque matin, Linda répondit doucement :

L i n d a - «Calypso Ardilun, utilisez votre Brise si vous avez chaud ! Je ne suis pas votre bonne, je ne suis pas là pour ouvrir les fenêtres !

Et comme chaque matin, Calypso soupira et ferma les yeux. Au bout d'une demi-seconde, une légère brise se mit à souffler dans la chambre de la jeune femme qui s'étendit dans son lit, tout à son aise. Lina tira la douillette pour la découvrir et la chassa à coup de douces menaces jusqu'à la salle de bain. Là, la jeune vedette pris des heures pour se préparer, se douchant, se brossant les cheveux, se crémant le corps, se parfumant, se maquillant, se mettant du vernis à ongle, s'amusant à utiliser son Ventilateur dans le seul but de voir ses cheveux s'étaler au vent ... Quand enfin elle sortit de la grande (Grande ? Que dis-je ... la somptueuse, l'imposante, la monumentale !) salle de bain, elle était fin prête, c'est-à-dire habillée comme si elle était invitée à la plus grosse soirée du monde. Linda soupira, puis remarqua l'air déterminé qui flottait sur le visage de la belle, air qui n'y était pas quand elle était entrée dans la pièce des heures plus tôt. Tout en lui servant son petit-déjeuner, la gentille suivante demanda :

L i n d a - «Dites-moi, jeunette, que me vaut cet air décidé ce matin ?»

Et le plus naturellement du monde, Calypso déclara, du haut de ses 16 ans d'âge mental :

C a l y p s o - «J'ai bien réfléchi ... Et je pense que j'ai besoin de protection. Tu sais Lili, si jamais un malade voulait ma peau, tu ne pourrais pas me défendre ...»

Elle croqua une bouchée de céréales et continua, toujours comme si c'était tout à fait normal :

C a l y p s o - «J'irai à la B-Corp tout à l'heure, pour me trouver une protection maximale.»

Linda failli lâcher le verre de jus de pomme qu'elle s'apprêtait à déposer devant la jeune femme. Fermant les yeux, elle marmonna inaudiblement :

L i n d a - «Cette petite va me tuer ...»

N'ayant rien entendu, Calypso termina son bol de céréales en silence et se leva, bien droite, dès qu'elle eut terminé. La fillette venait de laisser place à la femme, toujours capricieuse et butée, mais plus mature et concentrée. Sans dire un mot à Linda, elle sortit de la maison et se dirigea vers la limousine qui l'attendait jour et nuit devant sa porte. Évidemment, elle avait laissé toute sa vaisselle sale sur le comptoir ...

Montant dans la limousine, elle demanda gentiment au chauffeur de la mener à la B-Corp. Oui, oui, elle demanda gentiment. Car elle avait beau être une petite fille gâtée et princesse, elle était gentille. Bon. Au bout d'un petit moment, qui paru pourtant une éternité à la jeune diva, la limousine s'arrêta royalement devant l'énorme entreprise. Un garde du corps sortit du véhicule et vint ouvrir la portière de la demoiselle, qui posa dehors son beau pied manucuré et chaussé d'un stiletto vertigineux de couleur rose bonbon. Suivit ensuite le corps de la jeune femme, vêtu de noir (Si si, de noir), une belle robe courte noire et classique. Il fallait faire bonne impression, et déjà qu'avec les chaussures roses c'était assez voyant ... Rejetant sa longue chevelure derrière elle, enclenchant son fameux Ventilateur, elle pénétra d'un bon pas dans le hall d'entrée de la B-Corp. S'arrêtant devant le comptoir d'information, elle lança simplement :

C a l y p s o - «Bonjour ! Je suis Calypso Ardilun et je cherche une protection maximale !»

Il n'y avait rien à dire de plus, si ? Tout le monde la connaissait, à moins de venir d'une autre planète. Alors elle s'expliquerait plus en profondeur avec la personne qui lui serait utile pour la protéger. Point à la ligne !

[HJ : Je t'ai écrit une pavé pour me faire pardonner d'avoir mis si longtemps à commencer un rp avec toi, ma choutte ! Te n'aiiiiiiiime ♥]

Ce jour-là, elle n'avait pas eut grand-chose à faire. Cela lui arrivait, parfois, trop rarement à son goût certes mais de temps en temps tout de même. Ce n'était pas qu'elle n'avait aucune tâche à proprement parler, mais l'administratif avait été assez faible ces temps-ci – le départ du Capitaine Necrolia et la chute brutale de rendement de la Deuxième Section aidant bien, dans ce domaine – et il n'y avait aucune tâche de terrain en réserve pour elle, tout aillant déjà été réparti entre les simples soldats de l'Élite, et rien ne nécessitant que leur Lieutenante leur vienne en aide, vu la difficulté toute relative de toutes ces tâches. Hé oui, comme quoi même les supers soldats avaient des périodes creuses, de temps en temps, et peut-être que ce n'était plus mal comme ça. Enfin, elle aurait quand même préféré que ces temps se cristallisent pour former des vacances complètes et de bonnes plages d'activité, mais on ne pouvait pas tout avoir dans la vie, aussi composait-elle avec cette donnée, tout comme elle composait avec toutes les autres quand elle se présentaient.

La belle Dame de Glace avait donc visité l'endroit de détente préféré de la plupart des membres de la Blitzness Corporation, à savoir la salle de repos qui se trouvait juste entre l'étage de la Première Section et celui du Président-Directeur-Général en personne, avec sa fameuse et légendaire machine à café. Après en avoir savouré plusieurs délicieuses tasses – en prenant soin de ne marcher sur la queue de personne, cette fois-ci – elle était repassée par les bureaux de sa Section – où il n'y avait toujours rien de nouveau – puis s'était décidée à aller se balader un peu dans Ethera, faute de mieux. Elle en profiterait pour repasser à l’accueil, voir si une mission intéressante n'y aurait pas été déposée qui aurait pu retenir son attention, et qui n'aurait pas encore été traitée et envoyée dans la Section jugée la plus appropriée... ou la première à passer sous la main de la personne qui envoyait la mission, cela dépendait des cas. Et si rien ne se présentait hé bien elle s'accorderait probablement un petit quartier libre, même s'il était encore un peu tôt pour cela à son goût et son humeur du jour.

Toutefois, rien de cela ne s'avéra finalement nécessaire. En effet, lorsqu'elle arriva à l’accueil, une autre jeune femme s'y trouvait déjà, une jeune femme qui ne faisait pas partie du personnel et se démarquait du commun des visiteurs qu'on pouvait trouver en ce lieu de façon normale. C'était une sublime damoiselle aux allures de diva dans sa belle robe noire, avec des chaussures... roses bonbon. Elle s'était arrêté devant le bureau d'accueil avec un air de princesse en pays conquis.

« Bonjour ! Je suis Calypso Ardilun et je cherche une protection maximale ! »

Calypso Ardilun... Ce nom lui disait quelque chose, c'était, si elle se souvenait bien, une des stars du moment dans un domaine quelconque. Elle n'était pas spécialement fan, comme on pouvait le voir, mais elle savait en revanche que la célébrité allait avec l'argent, et que l'argent allait... hé bien... avec l'argent, tout simplement, ce qui était quand même le principal dans un contrat. Celui ou celle qui prendrait se contrat de « protection maximale » pourrait sans doute compter sur un joli bonus, et puisqu'elle n'avait rien à faire... pourquoi ne pas rafler la mise ? Alors non, Alwine n'était pas cupide, elle savait simplement qu'il fallait avoir les moyens pour bien vivre, et elle aimait cela, bien vivre, comme le prouvait la villa de luxe qu'elle possédait ici même, à Ethera.

« Merci, Ève, je vais m'occuper de mademoiselle Ardilun. »

Les mots étaient sortis d'eux-même après qu'elle se soit avancer presque sans y penser jusqu'au comptoir et à la jeune femme. La dénommée Ève – ou tout du moins c'était ce qu'indiquait son badge – reconnu la Dame de Glace, et hocha la tête avec un sourire agréable aux lèvres – un sourire qu'elle avait en permanence, d'ailleurs – tendis qu'Alwine, elle, se tournait en souriant vers Calypso, un sourire plus vrai et plus franc que celui de la jolie blonde de l’accueil.

« Enchantée miss Ardilun, j'ai beaucoup entendu parlé de vous. Je suis Alwine, Alwine Azamalon, Lieutenante de la Première Section, la Section d'Élite. Si vous voulez une protection maximale, je suis à même de vous la fournir, surtout que nous n'avons plus de section spécialisée sur ce point, et qu'il vaut donc mieux vous en référer à nous, l'élite, comme une personne telle que vous le mérite. Vous acceptez ma candidature ? »

Elle avait ajouté cette dernière question avec un doux sourire, car c'était après tout à elle de trancher la question, surtout vu que la belle damoiselle c'était proposée d'elle-même et n'avait pas été envoyée par la voie habituelle, mais elle ne pensait pas essuyer de refus.

Invité

Calypso était soufflée. Pendant un moment, elle en perdit mes son attitude de diva habituée de se faire servir par tout le monde. Elle redevint juste une jolie demoiselle qui rencontrait une autre jolie demoiselle. Car pour être jolie, ladite miss Azamalon l'était. Elle était même canon. Et cette fille prétendait être membre de la Blitzness Corp ? Être même membre de la section d'élite et pouvoir lui fournir elle-même la protection qu'elle demandait ... C'était terriblement étonnant. Pour Calypso, seuls les mecs travaillant comme garde du corps avaient le loisir d'être sexy et mignons. Les femmes, elles, étaient sensées être masculines et SURTOUT PAS des top-modèles. C'est pourquoi la jeune actrice resta bouche-bée pendant une fraction de seconde, et se permit même un petit balbutiement éberlué.

C a l y p s o - «Euh ...»

Puis elle se souvint de qui elle était et de ce qu'elle était sensée être, puis se reprit en se passant la main dans les cheveux pour reprendre une contenance.

C a l y p s o - «Oui ! Oui, évidemment que j'accepte votre candidature ...»

Puis elle réalisa, encore une fois un peu à la ramasse, qu'elle ne pouvait pas accepter comme ça ! Ce n'était pas parce que la femme qui lui proposait de prendre soin d'elle était superbe qu'elle devait dire «oui» comme ça ! Il fallait être certaine de ses capacités ...

C a l y p s o - «Enfin, je veux dire, j'accepte volontiers, à condition que vous acceptiez de me prouver vos capacités ... Pas que je ne vous fasse pas confiance, mais bon, si je veux une protection maximale, c'est pour éviter de me faire attaquer et assassiner, vous comprenez. Alors il faut que je sois sûre de ce que vous pouvez faire !»

Elle sourit angéliquement à la demoiselle, même si elle n'était pas sûre de son effet sur la beauté élitiste. La jeune diva a l'impression qu'elle n'impressionne pas du tout Alwine. Et que ses dires sur le fait qu'elle ait entendu parler d'elle ne sont que du vent. Calypso a vraiment l'impression de ne pas être connue du tout, devant le regard sympathique mais professionnel de la jeune femme.

C a l y p s o - «Quelles mesures pouvons-nous prendre pour me certifier de vos habiletés ?»

Oui, Calypso était une jeune femme étonnante. Enfantine, légère et parfois même pourrie-gâtée, elle pouvait devenir une adulte en un claquement de doigts. Le fait était simplement que ... elle n'aimait pas du tout être une adulte. Raison pour laquelle elle jouait tout un cirque de fillette un peu idiote aussi souvent qu'elle le pouvait. Mais ceux qui la connaissaient bien, comme Linda, savaient que ce n'était que du vent. En ce moment, avec mademoiselle Azamalon, elle ne savait pas trop quelle attitude adopter. Alors elle jonglait entre les deux avec art, préférant attendre qu'Alwine soit officiellement sa protectrice avant de la laisser voir plus avant qui elle était vraiment.

[HRP: Pas très long, excuse moi :S]

Alwine était confiante, sûre d'elle. Elle n'était pas pour rien la Lieutenante de la Première Section, celle des Élites. Elle était capable de remplir toutes les missions, pas seulement de simples combats, et cela valait aussi pour les missions de protections, même pour les belles jeunes femmes ! Du reste, dès le début son interlocutrice avait semblé impressionnée, décontenancé, restant la bouche ouverte et peinant même à trouver ses mots pour lui répondre.

«Euh ...»

Ce qui était, il fallait bien en convenir, relativement peu productif. Mais ce n'était pas la première fois qu'elle suscitait de telles réactions chez les gens, loin de là, même si d'ordinaire c'était plus le lot des hommes que d'autres jolies femmes. Ce fut avec un léger sourire que la Lieutenante lui laissa la temps de se reprendre, ce qu'elle fini d'ailleurs par faire finalement assez rapidement, se passant une main dans les cheveux, vraisemblablement pour faire oublier son petit blanc.

«Oui ! Oui, évidemment que j'accepte votre candidature ...»

Hé bien, ça avait été rapide, mais Alwine se disait que cela n'allait probablement pas en rester là, vu l'air encore un peu perdue de l'autre jeune femme, comme si elle n'avait pas encore totalement repris ses esprits. Elle ne se trompait d'ailleurs pas, comme c'était du reste souvent le cas.

«Enfin, je veux dire, j'accepte volontiers, à condition que vous acceptiez de me prouver vos capacités ... Pas que je ne vous fasse pas confiance, mais bon, si je veux une protection maximale, c'est pour éviter de me faire attaquer et assassiner, vous comprenez. Alors il faut que je sois sûre de ce que vous pouvez faire !»

Oh, alors elle n'était pas convaincue directement par sa simple assurance, alors, en fin de compte ? Ce n’était pas plus mal, une cliente avec un peu de jugeote, mais d'un autre côté il allait être difficile de lui fournir des preuves quand au niveau de protection qu'elle pouvait apporter, malheureusement. À moins de provoquer une attaque pour qu'elle gère la situation, elle ne voyait pas trop...

«Quelles mesures pouvons-nous prendre pour me certifier de vos habiletés ?»

C'était une bonne question, en soit... si ce n'était qu'Alwine n'en avait toujours aucune idée, pas plus que quelques instants au part avant. Elle fit une moue charmante tout en réfléchissant, avant de rendre ses sourires à sa future – elle l'espérait en tous cas – cliente. C'était peut-être une célébrité mais ce n'était franchement pas le genre d'Alwine de se gêner parce que quelqu'un de connu viendrait voir un peu ce qu'elle faisait, bien loin de là même !

« Hummmm... Je suis une Lieutenante, la Lieutenante de la Section d'Élite, ce qui devrait déjà vous donner une indication sur mon niveau, de même que ma forte réputation. Je ne sais pas si vous voulez vous faire un avis plus personnel mais tout cela conjugué faisait déjà quelque chose de plus qu'appréciable, alors... »

Un sourire se maintenait toujours sur les lèvres de la belle, alors que rapidement les idées passaient dans a tête vis-à-vis de ce que lui demandait le jeune homme, ne demandant qu'à s'exprimer. Comme quoi, parfois le rêve était un prélude à la réalité...

« Sinon je crains qu'il ne faille me laisser quelques temps pour faire mes preuves, à moins que vous ne vouliez à tous prix une démonstration dès maintenant avec les voyous. Dans tous les cas je suis toujours prête à relever tous les défis car je sais objectivement que vous ne trouverez pas mieux ici donc... n'hésitez pas à faire appel à moi ♥ »

L'air de la belle Dame de Glace était ouvert, sympathique. Non seulement la jeune femme était belle et de compagnie agréable, mais en plus elle était riche et célèbre, ce qui ne gâchait rien. Elle était donc prête à en mettre un coup pour décrocher le contrat, d'une façon ou d'une autre... en imaginant que cela soit nécessaire, en tous cas.

» Alwine, ma chaîne veut te saigner ♫ [PV Alwine]
» Qui qui veut rp? :3
» Goddess Key veut des partenaires !
» À la chasse aux zombies [ME 1/Ouvert si quelqu'un veut rejoindre]
» Quand Siana se fait désirer (owi *0* /PAN/)