Rencontre au sommet... du canyon [with Misa]

Miss Alïella… La jeune Teremundo avait eut l’idée de voyagé toute seul, en solitaire quoi et elle passait son temps à manger, enfin presque, sa dépendait si elle se trouvait une proie et si elle avait très faim. Et visiblement aujourd’hui c’était le cas… Misa ne savait pas vraiment comment elle était arrivée dans ce canyon, et d’ailleurs se fichait carrément du comment et pourquoi elle était là, tout ce qu’elle avait en tête s’était de vouloir mangé et que la chaleur étouffante n’arrangeait en rien la situation. Heureusement qu’elle n’était pas habiller pour l’hiver… je vous raconte pas la galère! La jeune femme passait donc son temps à marché, sans vraiment se préoccupée de ce qui se trouvait autour d’elle, finissant par mourir littéralement de chaud, c’est certains… Misa se disait qu’elle passerait par ces canyon qu’une seul fois dans sa vie et fera tout pour ne plus jamais revenir sous cette chaleur écrasante! Alors qu’elle était en pleine discussion dans sa tête, à râler comme pas possible et à détester encore plus ce canyon au fur et à mesure que les minutes défilaient, la jeune femme sentit une odeur familière, elle s’arrêtera net, reniflant l’air doucement… Et des étoiles plein les yeux, elle se rendra très vite compte que son dîner était dans les parages, elle esquissera un sourire sur le visage, continuant sa route en direction de cette si délicieuse odeur qu’était l’humain, la viande fraîche, le sang, c’est qu’elle devenait plus qu’une cannibale petite dame!

Plus elle avançait, plus l’odeur était proche et elle verra un homme avancer, elle ne savait pas du tout ce qu’il pouvait faire dans ce genre d’endroit à part tenter de se tué par grosse chaleur et d’une certaine façon s’en fichait complètement, elle comptait bien le dévorer et il ne faudra pas très longtemps à la Teremundo pour se jeter sur lui, sortant les griffes, elle lui donnera plusieurs coup bien placer et plutôt profond avant de le mordre à la gorge, lui arrachant un bon morceau de chaire en passant d’ailleurs. Le monsieur avait plus qu’à se vidé de son sang… et de finir avec des vilains morceaux de chaire en moins et il fallait avoué que bien que c’était pas le appétissant que Misa se mettait sous la dent, elle était ravie de pouvoir soulagé son estomac qui ne cessait de crié famine. Une bouché après l’autre la jeune femme prenait sont temps pour manger, profitant de cette délicieuse chaire ensanglanté qu’elle appréciait tant, si elle repensait au début de sa transformation, la jeune femme n’aurait jamais abattu de la sorte un humain, mais visiblement elle s’était habitué à tuer, sans réellement se préoccuper de ce qu’elle devenait. D’une certaine façon elle était déjà une accro à la viande et au sang avant sa, vu toutes les fois ou elle partait chasser sous sa forme de panthère et cette chaire rouge n’était pas si différente que le bœuf ou autre animal qu’elle se mettait sous la dent.

Bien trop occupée à se nourrir et à ne pas se préoccuper de ce qu’il pourrait se passer autour d’elle, la jeune Teremundo ne s’était même pas rendu compte qu’elle était observée, Misa était bien trop préoccupé par ce cadavre et deviendrait presque folle si elle se laissait aller à ces pulsions si elle ne se contrôlait pas un minimum. Après tout, du moins c’Est-ce qu’elle pensait, c’est bien d’être une Teremundo mais il faut savoir se contrôler un minimum si on ne voulait pas devenir assoiffée de sang et ce genre de personne elle ne voulait pas le devenir. Mais… elle se demandait si un jour, ces pulsions ne prendraient pas le dessus sur la petite part d’humanité qui restait dans son petit corps aux aires fragile, après tout, elle ne pourrait pas renier ce qu’était un terme undo habituellement et si elle continuait de tenter de freiner ces envies les plus enfouit, si un jour tous finit par sortir, la jeune femme pèterait un câble, si on peut le dire ainsi. Enfin, pour l’instant, misa savait parfaitement ce qu’elle faisait et se nourrir était une chose importante pour sa survie, humain ou simple animal elle ne ferait pas de chichi et mangerait autant qu’elle le désirera.

Miss Aliella finira par se relever lorsqu’elle se sera bien nourris, poussant un soupire de bien être, frottant son ventre avant de passer un sa main sur ces lèvres, comme pour nettoyer le sang qu’elle avait autour de celles-ci, il faudrait pas qu’elle se balade avec la bouche plein d’hémoglobine hein? La jeune femme se retournera alors, jetant un rapide coup d’œil autour d’elle avant… d’avoir cette impression de sentir une odeur autre que celle du cadavre, Misa humera l’air encore un instant, avant que son regard se pose sur un gros rocher, ne voyant rien… elle se dit que c’était peut-être son imagination, son regard balayera de nouveau la zone alors qu’elle fit quelques pas vers le dit rocher avant de s’arrêter. La féline lâchera un grognement,  posant une main sur sa hanche, elle effleurera son arc du bout des doigts alors qu’elle se demandait s’il y avait un réel danger pour elle dans les parages…

 « Oy! Je sais que vous êtes dans le coin, sortez de votre cachette ou je viens vous cherchez! »

Au moins elle ne pouvait pas être plus clair que ça hein? Et c’est sur que si la personne qui se cachait ne se montrait pas, elle irait la chercher elle-même, et la jeune femme ne serait absolument pas douce, ne l’étant que très rarement avec les inconnus, d’ailleurs elle ne se souvenait plus quand était-ce la dernière fois qu’elle avait été douce et gentille soit dit en passant!

Miss Alïella haussa un sourcil, quelque peu perplexe, bien que, reniflant l’air, et sentant cette odeur de poulet, la jeune femme était curieuse de savoir de qui il pouvait bien s’agir et surtout, pourquoi avait-il l’air de se cacher. C’est en tout cas l’impression qu’elle avait quand il dira quelques mots, ce qui lui indiquera que cet inconnu se trouvait derrière un rocher, Misa penchera légèrement la tête sur le côté, interrogative, elle sera un peu méfiante c’est vrai, mais avancera de quelques pas en sa direction, toujours sur ces gardes bien entendu. Elle abandonnera donc officiellement le cadavre qu’elle avait dévorer pour voir ce que faisait ce monsieur… Oui parce qu’il avait pas l’air d’avoir une voix féminine en fait, donc on en déduit que s’était un homme, logique quoi. Enfin, elle cherchait pas vraiment à se poser plus de questions que ça, la jeune Teremundo s’approchera alors pour arrivée non loin de cet inconnu.

Son regard se posera sur lui, puis sur le poulet qui cuisait et dont sa bonne odeur arrivait à ces narines, même si elle venait de bien manger, Miss Alïella devait bien avouée que résister à cette délicieuse nourriture serait un affront à sa personne qui mangeait tout le temps et ce n’importe quoi également. Une véritable affamée et quand elle avait pas d’humain sous la main, autant vous dire qu’elle allait directement chassée le gibier, ce qui n’était pas une nouveauté, après tout bien avant d’avoir été transformée, elle allait déjà chasser, tout en prétextant que la nourriture fraîche était tellement meilleur.

Ryley: « Allez-y, installez-vous, buvez donc, c’est un digestif. »

La féline restait tout de même debout malgré les premier mots qu’il lui avait adresser, qui était qu’il l’invitait à s’asseoir, Misa était assez méfiante face à cet inconnu, ne sachant pas qui il était et ce qu’il faisait dans les parages, au milieu d’un canyon ou il faisait excessivement chaud, il fallait bien l’avouée, la jeune femme ne voyait pas ce que pouvait bien faire un homme en train de faire un petit pique-nique dans le coin. Après tout, on chercherait habituellement un coin ou il faisait moins chaud non? Même si le rocher donner un peu d’ombre, la chaleur étouffante ne serait pas rafraîchit comme ça d’une traite. N’Est-ce pas? Avait-elle tord? Qui sait? Le regard de la Teremundo passera de son interlocuteur à sur le verre qu’il venait de servir, elle avait bien entendu observée chacun de ces gestes, comme pour tenter de l’analyser ou, surtout, parce qu’elle comptait éviter les ennuies. La jeune femme était peut-être un peu trop méfiante, mais il était rare qu’un humain reste dans son coin quand un Teremundo dévorait un des leurs comme sa, sans honte. En tout cas, c’Est-ce qu’elle pensait de la plupart d’entre eux et d’ailleurs elle se demandait quel genre de personne pouvait être ce monsieur pour n’avoir rien fait.

Pour le coup, il avait été « prudent » si on pouvait se permettre de le dire ainsi, en mettant une bonne distance entre le verre et lui, après tout, qu’Est-ce qui pouvait assuré un humain qu’un Teremundo ne tenterait pas de le bouffer après en avoir dévorer un premier à quelques mètres de lui hein? Mais la jeune femme avait eu sa dose de viande fraîche pour le moment et aimait plutôt les prendre par surprise pour éviter qu’ils ne se débattent et face loupé l’abattage de la demoiselle, après tous, faire souffrir une proie était la pire des choses à faire, non? C’est en tout cas de cette façon que Misa pensait et elle n’en changera pas! C’Est-ce qu’elle disait toujours du moins. La petite féline posera de nouveau son regard sur l’inconnu, se dirigeant vers le verre d’alcool, et elle finira par s’asseoir, gardant cette distance de « sécurité », si on pouvait l’interpréter de la sorte en tout cas, et l’observera encore quelques secondes avant de prendre le verre entre ces doigts. Habituellement, Misa n’était pas portée sur l’alcool, préférant largement les boissons non alcoolisé, voir même une préférence pour le lait - peut-être à cause de ces manies de félins, qui sait? -, mais cette fois, vu qu’elle était une sorte d’invitée surprise à un pique-nique au beau milieu d’un canyon, autant éviter de frustré le monsieur, non? Elle apportera alors le breuvage à ces lèvres, dont l’odeur la dégoûtait intérieurement, et en boira une gorgée, avant de poser de nouveau le verre à côté d’elle, avalant d’ailleurs le liquide alcoolisé, qui lui brûlait la gorge.

« Heu… Merci… mais… Vous êtes qui au juste? Et vous faites quoi dans les parages? Il est pas habituel de voir un Huma… Une personne faire une pause déjeuner dans un endroit aussi chaud, vous savez? »

Actuellement, Miss AlÎella n’était pas sur qu’il l’avait vu dévorer l’humain, et autant éviter d’alerté le monsieur d’une quelconque façon qui soit, même si elle manquait de parler comme tout « monstre » normaux avec ce mot: « humain », dans la première phrase qu’elle dirait. En tout cas, son regard ne quittera pas cet homme une seule seconde, même si l’odeur du poulet l’intéressait bien plus pour le moment.