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 Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.

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MessageSujet: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Jeu 15 Sep - 20:33

Comme tous les mois depuis qu'elle était entrée dans la section 1, Elva avait, comment dire, pris des vacances ... hors horaires. Elle calculait son coups depuis ses dernières vacances non-autorisées datant du mois précédant. Retour en arrière, la veille.

Elva attendait, comme toute personne qui n'avait rien d'autre à faire ... sauf qu'elle attendait cachée dans un placard. Sa cible: le bureau du secrétaire gérant les vacances des employés. Elle s'était levée le matin même à pas d'heure pour s'y introduire. Mais le secrétaire était déjà là, donc elle avait dût faire un peu de raffut, car le secrétaire en question commençait bien à se douter que les papiers qui disparaissaient chez lui et les disparitions d'Elva étaient liées. Elva se demandait d'ailleur comment sa patronne faisait pour ne pas voir qu'elle partait tous les mois en vacances. En tout cas, elle était dans l'armoire depuis 5 heure du mat, et il était 18 heure. Et vu que le secrétaire n'avait pas l'air d'avoir envie de sortir, elle comptait bien l'y aider.

Elle avait passé la veille à chercher cet objet. Magasins de farce et attrape, boutiques d'armes, elle avait tout fait, sans le trouver. 'est sous la forme d'une bombe qu'elle l'avait trouvé, dans un magasin miteux et en ruine, qui ne compris pas qu'il s'était fait arnaquer au prix ou Elva l'acheta. Cet objet, c'était une bombe puante, mais pas n'importe laquelle: le modèle avec odeur et déchets d'égouts et fumée verdâtre d'égouts en feu. Une rareté très efficace. Quand elle balança la bombe dans la pièce, le secrétaire en sortit comme une fusée. Bon, Elva avait juste un problème: elle avait pas de masque. Ce fut donc dans une puanteur d'égouts qu'elle fabriqua ses papiers officiels de vacances. Et elle avait décidé de visiter LéaFirma.

En civil bien sur, parce qu'il semblait que les secrétaires aient lancé un avis de recherche sur elle, elle avait fait en sorte d'être méconnaissable, et ça marchait. Elle avait diné avec ses congénères sans qu'ils la reconnaissent, glanant ainsi de précieuses infos sur sa recherche. Elle se promenait tranquillement quand elle se retrouve face à face avec une personne qu'elle ne connaissait que très bien: Arthur Conrad! Mince, si il la reconnaissait, elle était foutue! Elle prépara un bouclier à lui lancer au cas ou et continua son chemin.
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Mar 27 Sep - 10:39

Document officiel

Tous les capitaines des sections (cela vaut aussi pour toi Arthur) doivent se rendre à la visite médicale obligatoire afin de les protéger contre les nouveaux virus des Teremundos.

Dial

« Pourquoi mon nom est le seul à être mentionné... ? »

« Vous me demandez la raison ? Je pense que c'est à cause de votre inutilité, sans vous froissé, et ce n'est pas seulement moi qui le dit, tout le monde pense la même chose. Il faut dire aussi que personne ne sait ce que vous faites et à quoi sert cette section. Vous devez être normalement un marchand, mais on ne vend rien. La section scientifique fait même plus de bénéfices que nous, c'est pour dire... Enfin, ça reste seulement de l'ignorance envers vous... »

« Merci... je crois... »

« En tous les cas, il y a une nouvelle demande pour vous et cela concerne une nouvelle fois Elvanshalee. Vous devez partir encore une fois à sa recherche... »

« Encore ? Non je n'ai pas envie... En plus je ne sais pas si je l'aime bien cette fille... et en plus je n'ai pas envie de bouger »

« Les derniers relevés estiment qu'elle se trouve à la cité de Léafirma... »

« Mais oui ! Elvanshalee je m'en rappelle, il faut que je la retrouve, je pars tout de suite... »

« Ne me dites pas que c'est seulement une excuse pour partir à la cité... »

« Mais non ! Tu me connais, jamais je n'oserais. »

« On a le droit d'espérer... Ne faites pas trop de bêtises... »

C'est ainsi qu'Arthur se retrouva à bords d'un bateau en route pour la cité... Son manteau de capitaine était resté accroché à son porte-manteau qui se trouvait lui-même dans son bureau. Il avait cependant pris la peine d'apporter ses armes, seulement pour le look. Ses armes de poings étaient toujours chargés et les balles qu'il possédait était assez mystérieuse... Mais ce n'est pas le moment de parler de ça. Sa lame reposait tranquillement dans son fourreau, demandant intensément un peu d'action pour vibrer sur l'air. Arthur avait amené un appareille photo, ainsi qu'un chapeau avec un petit moulin sur celui-ci. Tout sur lui, venait à penser qu'il partait en vacance et non en mission expresse. Quand il vit pour la première fois la cité, il se jeta dans la foule et il commença à visiter les boutiques sans prendre la peine de regarder les gens autour de lui. Achetant part-ci part-là des cadeaux pour Yuki et Dial.
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Lun 24 Oct - 20:19

Il venait de lui passer à coté. Sans la voir. Ce qui voulait dire deux choses. Soit il était aveugle, soit il avait pris l'avis de recherche lancé sur elle comme prétexte pour visiter la ville et faire un peu de tourisme. Elva penchait plus qu'un peu pour la deuxième solution. Curieuse comme tout, elle le dévisageât jusqu'à qu'il soit hors de vue. Il n'avait pas son manteau de Capitaine. Un appareil photo autours du cou et un chapeau avec un moulin sur la tête prouvait plus que tout qu'il était ici en tourisme, bien qu'il soit un peu trop armée pour un touriste. Elle l'aurait bien suivit si elle ne suivait pas déjà quelqu'un.

Bon, au début, c'était involontaire, et c'était pas elle qui suivait. Elle avait remarqué un couple accompagné de 5 amis en arrivant à LéaFirma. Rien ne les distinguait des autres touriste, et Elva ne les avait remarqué que parce qu'ils étaient devant elle. Elle les avait revu 10 minutes plus tard dans la boutique qu'elle visitait. Rien de plus normal que des amis qui font les boutiques. Seulement, au bout d'une heure, et de croisements incessants dans toutes les boutiques où elle allait, elle avait commencé à avoir des doutes. Elle les avait semé dans un grand magasin avant d'inverser les rôles.

C'est un peu plus tard qu'elle avait croisé le Capitaine. Elle craignait un instant avoir perdu ce groupe de vue quand elle les vit ... suivre le Capitaine.


- Allons bon, qu'est-ce qu'ils mijotent?

Le groupe se sépara en deux. Le couple suivait le Capitaine pendant que les amis semblaient chercher quelqu'un. Semblaient la chercher. Sans chercher à s'en cacher, Elva suivit le couple, et donc le Capitaine dans toutes ses emplettes ( non mais il est pas censé me chercher? ). En tout cas, Elva ne comprenait plus pourquoi le groupe la suivait, et suivait aussi le Capitaine. Occupé à ne pas perdre de vue le couple, elle ne fit pas attention au fait que les amis c'étaient séparés. Elle se retrouva soudain en face de l'un d'eux. Deux arrivèrent par derrière elle, et les deux derniers un par chaque coté. Elle était encerclée.

- Vous allez nous suivre maintenant, Mademoiselle B-corps en civil.
- Oh, et pourquoi ça messieurs?
- On vous l'as pas appris à la B-corps? On appelles ça un enlèvement.
- Et une rançon va suivre, c'est ça? A moins qu'on vous l'ai demandé.

A leur expression, il était clair que c'était ça... Des chasseurs de prime ! Qui agissaient donc pour quelqu'un de plus haut placé, et surement riche. Donc cet abruti de Capitaine risquait lui aussi d'avoir des problèmes, et doué comme il était, il serai capable de se faire enlever.

- N'essayez pas de résister. Même si vous fuyiez ou nous tuez, d'autre viendrons.
- ...
- Maintenant, vous allez venir avec ...

Le type qui parlait fini sa vie à boire du yaourt à la paille. Le poing d'Elva lui défonça toutes les dents et les projeta, inconscient, à terre.

- Les autres, y'en à plein hein? Chic, je relève le défis !

Sauf qu'elle allait se faire arrêter à foutre le bordel avec l'avis de recherche qu'elle avait sur le dos! Elle se mit donc à courir, dans le but de les semer... ou de trouver un endroit plus calme. Elle passa à toute vitesse devant le Capitaine Conrad, poursuivie par les 4 hommes.


[ Allez Tutur, on va faire du sport^^ J'avais pas prévu ça à la base, désolée si ça change trop du plan d'origine. ]
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Lun 24 Oct - 20:53

« Bon alors, vous le prenez ou pas ? »

« Hum... »

« Dépêchez-vous, j'ai d'autres pig... client moi ! »

« Je ne vois pas l'utilité de cette chose... C'est bon, j'achète. »

« Merci de votre achat, chère client. J'espère qu'on vous reverra dans notre noble et modeste magasin. Si vous... Pff il ne m'écoute même pas cet abruti... »

Arthur continua de visiter tous les magasins des environs en prenant un malin plaisir à mettre en rogne des vendeurs, fatigués par ces hésitations. Il s'arrêta une vingtaine pour manger des Panninis et boire une boisson plus ou moins alcoolisé, puis il repartit dans sa quête à l'objet de ses désirs. Il se posa plusieurs fois afin d'écouter des musiciens de rue ou pour regarder des artistes faire leur spectacle. Il continua son chemin jusqu'à ce qu'il arrive à un endroit où il y avait peu de monde. S'apprêtant à faire demi-tour, il fut arrêté par un homme. S'excusant, il le contourna, mais cette fois-ci une femme l'arrêta.

« Toi, mon joli, tu vas venir avec nous. »

« Si vous voulez ! »

« Et si tu ne veux pas, je... Hein ? Tu viens ? »

« Ben oui, pourquoi pas ? »

« C'est du bluff, fait attention. »

« Ha ! Comme ça, on veut jouer au malin, hein ? »

L'homme mit la main dans sa poche et il sortit un couteau, d'une forme indéterminé, avec une fleur en décoration sur la poignée. La femme sourit à la vue du couteau, comme pour insinué à Arthur : « Tu es perdu » ou un truc dans le genre, mais s'il suffisait de cela pour vaincre un capitaine, la B-corp ne serait pas ce qu'elle est aujourd'hui.


« Et maintenant, tu dis quoi ? »

« Je dis que si tu ne ranges pas ton couteau, un de nous deux va mourir »

« Ha oui ? Et qui va mourir d'après toi ? »

« Ben moi, c'est toi qui tiens le couteau... »

« Tu joues vraiment au malin toi. »

« Non, c'est vous qui êtes assez stupide... »

« Gamin insolent ! »

Telle une tornade, Elvanshalee passa à côté d'Arthur qui partit lui-même à ses trousses pour savoir pourquoi elle courait comme cela et pour lui dire que la B-corp la demandait. Il ne partit cependant pas comme un voleur et il prit donc la peine de dire à ses kidnappeurs qu'il allait revenir.
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Mar 25 Oct - 11:06

Elle avait manqué de piller net. Y'avait de quoi quand même. A ce demander d'ailleurs comment elle avait fait pour pas s'arrêter. On le saura sans doute jamais. Le Capitaine papotait tranquillement ... avec ses kidnappeurs. Même menacé d'une arme, il restait toujours aussi stupide, qu'elle galère. Mais Elva commençait à bien l'aimer. Quand on élève la stupidité au rang d'art, il faut quand même avoir la nyaque pour devenir Capitaine ... à moins que ce soit le poste qui l'ai rendu stupide. En attendant, elle avait réussi à ne pas s'arrêter, ce qui fut une bonne idée vu qu'il se mit à lui courir après.

- Vous m'expliquez ce que vous faites Capitaine? Ils veulent vous enlever et vous papoter gentiment avec? Vous êtes vraiment pas croyable !

Bon, c'est maintenant que ça devenait marrant. 4 inconnus lui courraient après pour l'enlever, suivit de près par un Capitaine qui voulait lui parler, lui même suivit par un couple qui voulait l'enlever. On se croirai dans un film. Film où pas, ils allaient pas tarder à avoir les vigiles du magasin aux fesses si ils continuaient à courir comme ça. Elle se dirigeât vers la terrasse d'un restaurant puis au moment de sauter, s'aperçut qu'ils étaient au deuxième étage et pilla net. Leurs 6 poursuivants se déployèrent devant eux pour qu'ils ne puissent pas passer.

- Vous n'avez plus d'issues, fini de courir ! Vous allez tous les deux venir avec nous.

Les vigiles du magasin arrivèrent à ce moment là devant l'entrée de la terrasse ... et se heurtèrent à un mur invisible.

- Mouais, qui est coincé hein mes petits choux? Pas moi en tout cas♥

Un mur des damnés pour les vigiles. Ce qui voulait dire qu'elle allait devoir se démerder avec une barrière pour ses crétins. Bah, ça pausait pas de problème. En attendant, ils étaient tellement occupé à essayer de comprendre qui d'autre qu'Elva pouvait être coincés qu'ils ne surveillaient plus personne.

- Bon alors, Capitaine, on à deux choix. Soit on les explose, et on parle plus de tout ça, soit on les suit, pour voir qui est assez crétin pour enlever des membres de la B-corps. Les deux solutions me vont, alors je vous laisse choisir♥
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Mar 25 Oct - 12:06

La vitesse d'Elvanshalee était stupéfiante et il n'était pas surprenant que ses poursuivants ne l'avaient pas encore rattrapé. Arthur regarda au-dessus de son épaule et il pu apercevoir le couple qui l'avaient interpellé plus tôt. Apparemment, ils avaient encore des questions, mais cela attendra. Pour le moment, il devait rejoindre... Le cours des pensées d'Arthur s'arrêta quand il vu un homme avec un blouson de la marque « Vigil ». Sûrement une marque spécifique à ce continent. L'homme lui fit signe de la main et Arthur y répondit gentiment en lui faisant un coucou de la main à son tour. Il n'y a pas à dire, les gens d'ici étaient vraiment sympathiques. Il se reconcentra sur celle qu'il devait rattraper. Elle était presque hors de vu. Il accéléra donc sa vitesse quitte à perdre ses deux nouveaux amis. Ce fut presque inutile, puisque ses proies, si on peut appeler cela une proie, c'étaient arrêté. Malheureusement, c'était trop tard et Arthur passa naturellement par-dessus la balustrade à cause de sa vitesse.

Pendant ce temps, les pseudo kidnappeur c'étaient réunies et une foule de curieux abhorrant la marque « Vigile » était là aussi. Ils étaient séparés par un espace, comme si un mur invisible avait été érigé... peut-être était-ce le cas, afin de protéger les civiles... Les Six personnes en charge à leurs captures se séparèrent en arc de cercle autour d'Elvanshalee.


« C'est bon, je maîtrise ! »

Une main apparut, puis avec une belle acrobatie, Arthur se servi de sa main comme un pivot et son corps fit une rotation. Cette roue quoiqu'inutile, aurait pu être cool, mais c'était sans compter sur un pot de fleur qui se trouvait là. Arthur se réceptionna mal et il se retrouva par terre.

« Oups »

« Bon alors, Capitaine, on à deux choix. Soit on les explose, et on parle plus de tout ça, soit on les suit, pour voir qui est assez crétin pour enlever des membres de la B-corps. Les deux solutions me vont, alors je vous laisse choisir »

«Hum... Techniquement, ce ne sont pas des kidnappeurs, puisqu'ils nenous ont rien fait. Donc si on les explose, comme tu dis, on sera coupable d'agression physique sur des personnes. Ensuite, il est difficile de questionner des hommes une fois qu'ils ont pris une raclé... A moins d'y aller doucement, mais c'est moins drôle... De plus, ces hommes n'ont certainement aucune idée de la personne qui les emploie afin d'éviter les balances dans le cas d'un échec. Pour finir, je ne suis pas pressé et ces hommes connaissent peut-être les environs, ils nous feront visiter, non ? »
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Mar 25 Oct - 14:03

«Hum... Techniquement, ce ne sont pas des kidnappeurs, puisqu'ils ne nous ont rien fait. Donc si on les explose, comme tu dis, on sera coupable d'agression physique sur des personnes. Ensuite, il est difficile de questionner des hommes une fois qu'ils ont pris une raclé... A moins d'y aller doucement, mais c'est moins drôle... De plus, ces hommes n'ont certainement aucune idée de la personne qui les emploie afin d'éviter les balances dans le cas d'un échec. Pour finir, je ne suis pas pressé et ces hommes connaissent peut-être les environs, ils nous feront visiter, non ? »

Bon, plutôt que d'essayer de trouver des failles à son raisonnement, Elva décida d'appliquer les méthodes de pensée du Capitaine. Donc, elle devait ne pas avoir envie de se battre, trop la flemme, et ne pas avoir envie de s'attirer des ennuis, trop chiants à régler. Donc autant aller se promener avec des inconnus puisqu'ils nous le demandent. Bon, Elva n'espérait pas trop se tromper. Au pire, à moins que le Capitaine lise dans les pensées, il ne pourrai pas savoir ce qu'elle venait de faire. Application n°1 du mode de pensées Conrad :

- Cette fois vous ne pouvez plus fuir ...
- Ben non, on as décidé de venir avec vous !
- De quoi, vous vous moquez de nous?
- Ben non, mais j'en ai mare de courir, et j'ai pas encore visité la ville ! Alors si je vous suis, en plus de ne plus avoir besoin de courir, je visite gratos ! ♥
- Non mais vous êtes aussi débile que cet homme où quoi?
- A vous de choisir qui est le groupe le plus débile. C'est qui qui perd du temps alors qu'il à reçu l'ordre d'enlever deux personnes fissa, et qu'en plus plein de vigiles arrivent?

Vu les jurons qu'ils balancèrent, ils avaient pas vu les vigiles. Vigiles qui, à force de se prendre dans la tronche le bouclier, avaient compris qu'il fallait passer par ailleurs, donc par les escaliers qui descendaient de la terrasse à l'étage précédant. Ce qui voulait dire que le chemin était libre ... quels cons ses vigiles. Les kidnappeurs ne perdirent pas de temps. Le couple s'occupa de soulever Arthur et de partir en courant, tandis qu'un des '' amis'' me balançait sur son épaule, et le tout suivit le couple.

Bon, visiter la tête en bas fût une étrange mais intéressante expérience. Arthur, lui, était porté par la femme ( plus costaud que son mari apparemment ) qui lui avait coincé la tête entre les deux collines qui lui servaient de poitrine. Le Capitaine avait donc eu un autre type de visite. La seule chose qu'Elva vit correctement de toute la visite fut le dos de son porteur, parce que tourner la tête pour voir où elle allait était franchement pas marrant. Elle vit vaguement passer des rues, et pria aussi pour que celui qui la portait n'ai pas de gaz, parce qu'elle serai en première ligne. Puis ils entrèrent dans une maison et furent tout deux jetés à terre.


- Attachez-les ! On est déjà assez en retard, si par malheur le patron voit qu'on à merdé, on va pas revoir le soleil se lever !

Une fois les deux cibles attachées ( parce qu'elles avaient pas envie de lutter^^ ) les kidnappeurs allumèrent la lumière. Ils se trouvaient dans un entrepôt. Un assez grand entrepôt rempli à ras-bord de cartons. Des milliers de cartons. Des paquets blancs étaient entassés dans un coin de la pièce. De la drogue? mais ou en avaient-ils trouvé de telles quantités? Il semblait que des années de trafic se trouvaient là. Elva décida de jouer les idiotes pour en savoir plus.

- Oh, c'est grand ici! C'est quoi tout ces cartons?
- Vous le saurez bien assez tôt.
- Et les paquets blancs c'est quoi, de la craie?
- Mais oui c'est ça, de la craie.
- Et le gentil Monsieur qui nous à invité, il arrive quand, c'est nul une fête sans celui qui l'organise !
- La ferme !
- Il vit dans une ferme?! Oooooooooooooo

Un des ravisseurs exaspéré lui colla un coups de pieds en plein visage. Aïe ! Pas le moment d'utiliser un bouclier, ça grillerai sa couverture de petite idiote. En attendant, son nez était cassé et pissait du sang. C'est à ce moment la qu'une porte s'ouvrit au fond de la salle et qu'un homme accompagné de gardes du corps entra.


[ Tutur, je te fais cadeau de la conversation, amuses toi bien pour la suite^^ ]
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Mar 25 Oct - 17:18

Balloté, transporté comme de vulgaires sacs à patate sans prendre en compte leur confort, Arthur et Elvanshalee se faisaient amener à un autre lieu où enfin ils auront le fin mot de l'histoire. Arthur, ne pouvant apercevoir le paysage à cause de la position qu'il détenait, avait décidé de dormir et même si la femme lui donnait des coups afin qu'il se réveille, son sommeille était profond et zen. Ainsi, il n'eut aucune notion de temps et il ne put dire avec précision l'heure qu'il était. Dupuis combien de temps étaient-ils ainsi ? Quelques minutes ? Des heures ? Cela avait entre peu et pas d'importance. Tout ce qu'Arthur savait, c'était que le sol où il s'était réveillé était froid et dur. Il voulu s'étirer, mais des mains l'en empêchèrent puis des cordes s'enroulèrent autour de ses poignées et de ses chevilles. Sa compagne de la B-corp avait décidé de discuter tranquillement avec un de leur geôlier, alors Arthur préféra aller voir ailleurs. Il ne s'inquiéta pas de ce qu'il se passa ensuite, jusqu'au moment ou un homme entra flanqué de gardes du corps.

« Assez ! Inutile de se fatiguer, bientôt ils ne seront plus de ce monde, n'est-ce pas Miss B-corp et M. Le capit... Où est-il ? Où est la seconde personne ? Bande d'abruti, retrouvé le ! »

« Hum ? »

« Le voilà ! Comment tu t'es détaché ? »

Arthur était assis sur une étagère et il lisait une feuille tranquillement, alors il fut surpris quand on l'interpella avec tant de violence, mais il n'en faut pas plus afin qu'il comprenne la situation. Il sauta de son étagère et il parti à l'endroit où il avait été jeté précédemment. A cet endroit se trouvait les cordes qui avaient servit plus tôt à l'attacher. Il prit les cordes et il s'attacha les jambes puis les poignets. Personne n'avait bougé tellement ils étaient surpris parce qu'il faisait. Arthur se racla la gorge et il commença à crier à gorge déployé.

« Au Mince ! Fichtre ! J'ai été Kidnappé ! A l'aide ! J'ai peur ! »

« Comme si on va te croire. »

Le garde le plus près lui flanqua un coup qui l'envoya contre le mur. Arthur enleva les cordes et il se tient debout et fier devant son bourreau. L'homme envoya une vague de coups de poing, sans recevoir aucune riposte d'Arthur, encaissant chaque coup. Plusieurs minutes passèrent. L'homme était fatigué, couvert de sueur, il avait le souffle cour et devant lui, Arthur n'avait rien et il était encore debout.

« Co... Comment ? »

« Inutile de continuer, cet homme a esquivé tous tes coups »

« C'est impossible, je sentais le contact de son visage à chaque fois. »

« Peut-être, mais à chaque coup, il tournait son visage afin d'accompagner ton mouvement. Il n'a reçu pour ainsi dire aucun dommage et toi tu t'es fatigué. Regarde toi, tu es à bout de souffle, tu es devenu inutile. »

« Et vous êtes ? »

« Ho ! Je manque à tous mes devoirs, je suis votre kidnappeur et je compte vous tuer. »

« Pourquoi ? »

« Pour une raison toute simple, j'ai l'intention d'envoyer cette drogue dans le continent Archivant, mais la B-corp m'en empêche. Avec vous, j'ai l'intention de faire plier la B-corp, mais il me faut juste des preuves que je détiens vos corps donc je n'ai pas besoin de vous vivant. »

« Vous auriez eu moins de problèmes en nous évitant... »

« Peu importe ! Tuer-les, c'est un ordre ! »

« Avec un grand plaisir. »

Deux mecs s'avancèrent vers Arthur et Elvanshalee avec semble-t-il la ferme intention de les tuer. L'aura qu'ils dégageaient, était plus puissante que celle des kidnappeurs. Pour une fois que ce n'était pas des petites frappes qu'on leurenvoyer, ils allaient en suer pour ce combat.

« Attention Elvashalee, ce combat ne va pas être aussi facile que les précédents... »
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Mer 26 Oct - 22:43

« Attention Elvashalee, ce combat ne va pas être aussi facile que les précédents... »

Ça aurai au moins d'être plus intéressant que la conversation entre le Capitaine et les kidnappeurs. Elva s'était d'ailleurs tellement ennuyée qu'elle s'était détachée et avait entrepris de fouiner dans tous les cartons qui lui venaient sous la main, sans que personne s'en aperçoive. Elle y avait trouvé d'ailleurs des trucs assez intéressant, et autres que la drogue: des armes. Couteaux en tous genres, épées, pistolets ... Elle cependant trouvé le plus intéressant au fond de la salle sous la forme de lance-flammes. Elle les aurait bien essayé si ça avait pas commencé à crier là-bas. Elle était retourné s'asseoir à sa place en prenant bien garde de passer bien au milieu de leurs kidnappeurs.

- Non mais mais elle fout quoi elle là?
- Ben je suis allée promener, vous aviez pas vu?
- Non mais vous attendez quoi pour les tuer?!


Le grand chef avait l'air d'une joyeuse humeur. Deux hommes seulement s'avançaient vers eux... pas seulement. Elle avait les poils qui se mettaient au garde à vous rien qu'à les regarder. Ah, c'est pour ça que le Capitaine lui avait dit de faire attention ! Elva était tellement ... ailleurs ... qu'elle avait même pas cherché à comprendre ce qui pourrait bien être dangereux. Chaque homme avait ça cible. Bon, déjà, y'avait pas assez de place, et l'autre était bien trop près. Elva voulu s'éloigner, elle n'en eut pas le temps. L'homme la frappa si vite qu'elle ne vit pas le coups arriver. Elle vola et alla s'écraser dans un tas de carton.

- Faites attention à la marchandise !

Encore le grand chef qui râlait, à croire qu'il était jamais content celui-là ! En tout cas, Elva venait de se prendre un fulguro-poing dans le bide, et avait même pas eu le temps de se protéger. Elle se releva en grimaçant ... et se retrouva pendue à dix centimètres du sol par une poigne de fer qui venait de la chopper par le visage. Le cou qu'elle lui envoya dans le nez ne sembla même pas l'intéresser.

- Dites chef, elle à pas l'air très costaud celle là, je peux m'amuser un peu avec elle avant de la tuer?
- Fait ce que tu veux tant qu'elle meurt vite !

Bon ben à adversaire draconien, mesures draconiennes. Son pieds alla malencontreusement se loger avec beaucoup plus de puissance que ses coups de poings dans les parties génitales de sa cible. Celui-ci ne sentis pas tout de suite la douleur, et éclata de rire. Un rire bref, vu que le poing d'Elva lui péta trois dents, et que la douleur du coups dans ses bijoux de famille atteins à ce moment la son cerveau. Il lâcha Elva en poussant un cri de douleur. Il se repris vite, très vite, et lança un très beau coups de pieds à Elva, qui eut le réflexe idiot de se jeter à terre pour l'éviter, et se pris le suivant dans le bide, qui la propulsa à 6 pas devant Arthur. Elva marmonnait une suite de mot inintelligible dont le seul compréhensible était:

- Caaaaaaaaaaaaaaaalme, caaaaaaaaaaaaaaaaalme, CAAAAAAAAAAAAAAAALME !

Autant dire qu'elle était tout sauf calme. Petit cours de décryptage des cris d'Elva : il n'y à qu'à deux stades qu'Elva cri calme: quand elle se retiens de frapper quelqu'un, ou quand elle essaie de pas passer en mode sadique. Là, c'était la deuxième option. Autrement dit: planquez vous.

- Pas calme du tout, la p'tite Elva, c'pas bien ça, faut toujours être calme.

Et là ben elle commençait à se parler toute seule. Oula pas bon. Le type s'avança tranquillement vers elle ... et se pris à nouveau un pieds dans les parties génitale. Il grimaça sans s'arrêter et abattît son pieds ... à l'endroit ou Elva se tenait deux secondes avant. Elle roula en arrière et se releva dans le même mouvement. Il lui envoya un coups de poing en plein visage, qui s'écrasa sur un bouclier à trois centimètres de son nez avec un joli craquement vu la puissance du coups. Le bouclier d'Elva ( barrière des trois âmes ) c'était brisé sous la puissance du choc. Avant qu'il n'ai le temps de bouger, elle le frappa violemment dans les tibias et s'éloigna.

- Bon sens mais vous êtes incapables de battre une fille désarmée? Elle essaie de te fatiguer imbécile !
- Désarmée? Qui ça?

Ben, ils avaient attaché Elva et Arthur ... sans les désarmer. Ce qui fit qu'Elva tira son katana du fourreau qu'elle avait caché le long de sa colonne vertébrale après s'être entouré les mains d'un bouclier ( mini-bouclier ) se qui lui évita l'inévitable taillade de sortie du katana. Elle entoura la lame d'un mini-bouclier pour la protéger et engageât un féroce corps à corps avec sa cible en chantonnant gaiement une chanson parlant de Scandinave et de bave. ( Ici♥ )
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Jeu 27 Oct - 15:54

Se faire Kidnapper... Quelle bonne idée, c'était le genre d'expérience que tu ne vivais qu'une fois dans ta vie, voire deux si on ne te tue pas la première fois ou si on te libère. Arthur trouvait cela excitant, mais le kidnappeur en chef n'était pas très marrant et pour tout dire, Arthur avait de sérieux doute sur l'intelligence de l'homme ou du moins, sur sa capacité à réfléchir. C'est ainsi qu'il commença à s'ennuyer. Il n'y avait plus rien d'intéressant dans cette affaire. Comme la plupart des organisations de drogue, les personnes s'en occupant étaient faibles et pas distrayant. L'homme qui paraissait fort s'avança vers lui sortit une épée longue. Arthur le suivit, il mit sa main sur le manche de sa propre arme, mais tout ce que sa main rencontra fut le vide. En effet, durant le kidnapping, un des hommes lui avait enlevé son arme. Un petit coup d'oeil à droite et à gauche, lui apprit que sa lame était dans la main d'un homme non loin de lui. Pour faire patienter son adversaire, il prit une barre en ferraille qui se trouvait par terre. Jusqu'à là, tout était que pure logique et oui, les barres en faire se trouve souvent par terre à côté de vous quand vous en avez besoin. L'adversaire d'Arthur qu'on nommera Brian pour plus de commodité leva son épée et il attaqua Arthur avec un coup vertical en direction de son épaule gauche. Celui-ci para facilement en tenant sa barre de fer horizontalement, bloquant l'arme de son adversaire. La puissance du coup de Brian, son opposant confirma les doutes d'Arthur... En faite, il était faible. A peine avait-il eut cette pensée, qu'une gerbe de sang suinta de son épaule droite. Il regarda son épaule avec étonnement puis son adversaire qui n'avait pas bougé d'un pouce.
Celui-ci eu un petit sourire, puis il releva son épée et il fit un coup vertical, qu'Arthur esquiva en faisant un bond vers l'arrière. Une vive douleur lui fit mettre un genou à terre. Il mit une main dans son dos et quand il l'a regarda, elle était couverte de sang. Un bref coup d'oeil derrière lui, permit à Arthur de voir qu'il n'y avait personne. Sans prendre le temps de réfléchir, Arthur s'élança vers l'homme qui détenait sa lame et il lui reprit des mains tout en l'assommant. Il se remit en position et il attendit son rival. Brian avança lentement, un sourire sur ses lèvres. Le sourire que possèdent ceux qui ont déjà vaincu, le sourire d'un prédateur devant sa proie. Un sourire prouvant sa force. Brian leva sa main et il l'abattit une nouvelle fois vers Arthur qui dévia l'attaque avec son arme, mais c'était peine perdue. Une nouvelle entaille vu le jour dans son dos.


« Ton pouvoir est intéressant. »

« Personne ne peut en échapper. »

« Ha bon ? Pourtant, il a l'air facile à contrer une fois qu'on connait le truc... »

« Mon pouvoir ne peut être contrôlé. Personne n'a encore survécu à mon pouvoir : Projection. »

« Tu le crois vraiment ? »

Brian leva la main et il fendit l’air de son arme à deux mètres d’Arthur. Au même moment, une entaille apparue sur le torse d’Arthur. Ses affaires s’imprégnèrent de sang et devinrent rouge.

« Non, personne. Que ce soit des hommes, des femmes ou même des enfants et tu peux me croire, j’ai déjà essayé…»

« ... Si seulement tu te battais seulement contre des hommes... mais maintenant que je sais que tu tue aussi des femmes, je ne peux pas te laisser en liberté… »

« Et tu vas m’arrêter ? Tu n’en es pas capable, vermisseau ! »

Brian leva une nouvelle fois son bras et dans un même mouvement, il abattit sa lame qui fut stoppé par la main d’Arthur. Brian essaya de se dégager tant bien que mal, mais la force du capitaine l’obligea à s’arrêter et même à lâcher son arme. Un simple coup de boule le mit hors d’état.

"Dors ! Tu te réveilleras dans un cachot..."


Dernière édition par Arthur Conrad le Sam 29 Oct - 12:20, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Sam 29 Oct - 12:17

Oh, il sais se battre ! Ce fut sa première pensée quand elle vit le Capitaine se battre. Mais bon, c'est bien de regarder les autres se battre, mais pas quand on se bat sois même. Le poings qu'elle se pris dans la tête l'envoya bouler dans un tas de cartons bien plus loin. Elle eu la vue d'un Capitaine qui se faisait blesser ... alors que son adversaire ne le touchait même pas. Projection. Et il était assez doué. Peut être trop pour le Capitaine. La croyant hors jeu, son adversaire observait lui aussi le combat ... et resta bouche bée quand d'un seul coups de boule le Capitaine mis son ami à terre. Il s'apprêtait à attaquer Arthur quand un marmonnement derrière lui attira son attention.

- Mode Arthur: OFF.

Ben oui, elle était toujours en mode Arthur, autrement dit, elle ne se battait pas sérieusement, parce qu'elle ne prenait pas le combat sérieusement. Et elle avait décidé que vu que le Capitaine avait mis son adversaire hors jeu, il était hors de question qu'elle fasse pas pareil. Elle se releva donc comme si elle n'avait jamais pris de coups. Ben oui, le type, il frappait fort, mais pas plus que n'importe quel autre homme. Elle rengaina son katana et afficha un sourire pervers des plus inquiétant.

- Bon, allons-y mon chou, battons nous sérieusement !

Il n'eut pas l'air d'apprécier du tout la remarque. Il lança de toutes ses forces son poing sur le visage d'Elva. Qui la toucha. Sauf qu'elle ne broncha même pas. Elle lui adressa même un jolie sourire. Il frappa à nouveau. Son poing frappa le vide. Elva avait effacé ses épaules, et le poing s'était contenté de l'érafler. Elle le saisit presque délicatement, et utilisa la force de son adversaire et son élan pour l'envoyer valser par dessus son épaule. Il s'écrasa plus loin et se releva, un air stupéfait peint sur le visage.

- C'est pô bien de sous-estimer les gens♥
- Vous deux, vous y allez aussi, fermez le bec de cette pétasse !
- Gné?

Deux sbires débiles de plus allaient se joindre au combat. Donc une élimination rapide s'imposait. Elle entoura ses deux poings d'un mini-bouclier. Le premier type fonçait droit sur elle. Il se ramassa la tronche sur un mur invisible. La dernière chose qu'il vit fût le poings d'Elva foncer droit sur sa tronche. Elle frappa de toutes ses forces. Peut être trop fort, vu que l'homme finit sa vie à l'état de légume. Les deux sbires ... s'enfuirent. Ne restait plus que le chef, qui sorti un pistolet et tira sur Arthur. Les boucliers, sa marche pas contre les balles. Il était assez proche d'elle pour qu'elle se mette devant lui. Réflexe stupide, surtout qu'elle avait la drôle d'impression qu'il aurait pût la rater. Une balle dans le ventre, ça fait mal. Pas autant que le pin que se pris l'homme quand Elva l'atteignis, lancée à pleine vitesse. Il tira, mais le coups fut dévié, et la balle alla frapper un tas de drogue ... qui s'enflamma. Elva mis le chef chaos d'un bon coups de genoux entre les jambes. Les jambes. Celles d'Elva ne la portaient plus. Et la douleur l'empêchait de se soigner. Une flaque de sang se formait sous elle. L'entrepôt prenais feu. Et elle ne pouvait pas en sortir. Puis les flammes se rapprochèrent du stock d'armes. Ça allait exploser. Elva pria pour qu'au moins le Capitaine s'en sorte.



[ Et hop, un p'tit sauvetage pour Tutur, ça va t'apporter une sacrée renommée !^^ Et ta pas intérêt à partir sans moi♥ ]
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MessageSujet: Re: Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts.   Ah, fainéantise, si tu pouvais tuer, on serait déjà morts. Icon_minitime1Sam 29 Oct - 14:20

Le chef ou du moins celui qui se faisait passer pour le chef, recula nerveusement devant Arthur. Ceci n'était pas stupéfiant, car comme la plupart des chefs de bandes, ce n'était rien d'autre qu'une tête pensante toute faible. Alors, voire un de ses gardes, considéré comme le plus fort de la troupe, se faire rétamer devant lui, avait eu un gros effet sur lui et surtout sur sa vessie qui rejetait toute sa nervosité. Arthur s'avança d'un pas, puis il s'assit par terre. Il sortit un petit tissu enroulé d'une de ses poches de son pantalon et il l'a posa par terre. D'une main, il déroula le tissu faisant apparaitre une aiguille, du fil, des bandages, des pansements avec le logos de la B-corp dessiné dessus, une petite bouteille de Rhum, des tic tacde toutes les couleurs, une balle de ping pong et un rince doigt. Il commença par prendre le rince doigt qu'il ouvrit et il s'essuya les mains avec tranquillement. Puis, il reposa le petit essui mains dans son sachet qu'il reposa par terre. Il regarda les blessures qu'il avait reçu et il remarqua que l'homme, dénommé pour certaine raison obscure Brian, n'avait même pas réussi à entamer sa peau. Ceci dénotait un manque d'exercice de la part de son rival. Il sortit alors, une carte avec les coordonnées de la B-corp et il l'envoya sur le corps encore endormie de l'homme. Peut-être qu'un jour, il pourrait devenir un bon combattant avec de l'entraînement pour la B-corp.

« Mais que faites-vous ? C'est le moment ! Attaquez-le ! »

« Heu... O..oui chef ! »

« Hum ? »

« Haaaa désolé chef, il est trop fort pour nous !!!! »

Le reste des subordonnées partirent en courant dans tous les sens. Le chef resta bouche bée devant la scène, il ne restait plus que lui. Lui qui n'avait pratiquement jamais combattu ou du moins, ce n'était pas le même genre de bataille. Arthur, sembla entendre des gros mots sortir de la bouche de l'homme en question. N'ayant aucune envie de s'y intéresser, il continua ce qu'il était en train de faire. Il prit un bandage et il commença à se bander lui-même le torse puis les épaules afin d'arrêter le saignement qui suintait des coupures qu'il avait reçu. Une détonation résonna dans la salle puis quelqu'un passa devant lui. Arthur se concentra et il ressentit tous les changements dans le comportement du vent qu'il pouvait y avoir dans la salle. Devant la personne qu'il avait en face de lui, il voyait, ou ressentait un vent créé par un projectile. La balle était pratiquement au contact de la personne. A ce moment-là, Arthur ne pouvait modifier la trajectoire de la balle, mais il pouvait quand même tenter une chose. Rapidement, il poussa la balle avec le vent, ce qui eut pour effet d'augmenter sensiblement la vitesse de la balle. La balle se fraya un chemin facilement dans le corps de la jeune fille. Arthur mit sa main derrière le dos d'Elvanshalee et il rattrapa la balle qui venait de traverser tout le corps de la jeune fille. L'accélération donnée par Arthur avait permis à la balle d'éviter des organes vitaux, mais aussi de traverser entièrement Elvanshalee. Ainsi, la balle ne pouvait pas faire plus de dégâts et il pouvait bouger la jeune fille sans crainte.
Son attention se focalisa sur le feu puis il regarda le nombre de personnes autour de lui. D'un geste de la main, le vent souffla et souleva toutes les personnes, qu'elles soient blessées ou inconsciente. Il regarda la sortit, puis le feu. Il se propageait assez vite et cela réduisait leur temps de fuite. Un coup d'oeil au-dessus de lui, lui apprit qu'une simple vitre servait de toit. D'un autre geste, celle-ci explosa. Un vent plus puissant s'engouffra dans l'entrepôt et toutes les personnes se retrouvèrent projetées dehors. L'extraction des personnes par le vent fut rapide, néanmoins, elle avait été douce, évitant que les blessés soient encore plus dans un état préoccupant. Un autre vent, plus violent encore, passa à côté des personnes pour se diriger vers l'entrepôt. Quand il explosa, le souffle fut retenu par le vent d'Arthur. Ainsi, l'explosion se limita seulement au bâtiment. Arthur sortit calmement sont téléphone de sa poche et il appuya sur une touche qui composa tout de suite un numéro prédéfini.


« C'est moi ! »

« BIEN SUR QUE C'EST TOI ! ET TU TE TROUVES DANS QUEL ENDROIT ? »

« Trace mon appel, on a besoin de soin et amène aussi de quoi emprisonner des gens. On vient de détruire un complexe où de la drogue circulée. Par contre, le boss de cette organisation est mort durant l'affrontement... On t'attend. »

« C'est quoi ça, je ne suis pas... »

Un vent strident partit vers le chef de la bande qui se retrouva tailladé de toute part. Son coeur arrêta de battre, puis il tomba. Le son de la chute et du contact avec le sol fut étouffé par le bruit d'hélico qui se dirigeait vers Arthur.
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