A force de jouer avec le feu... On s'en brule les doigts !

Voilà maintenant trois jours que je travaille c'est fou je m'étonnes à moi-même, mais bon j'en ai déjà marre. Oui ça me gave de signer des dossiers a longueur de journée c'est pour ça ça qu'il est l'heure de ... de quoi... holà je surchauffe moi. Je disais c'est l'heure des vacances yepiiii. Hop je me lève de ma chaise de bras droit en cuir sur laquelle on est alaise pas de bagage ni rien juste un short et un t-shirt et des claquettes bien sûr. Bon on va sortir vite d'ici.... 1...2..3 et WAHOU... RIEN DE MIEUX QUE LE BON VIEUX SAUT PAR LA FENETRE. Pas loin du sol je réduis ma masse petit à petit pour atterrir en douceur, beh quoi je ne vais pas m'écraser et mourir ce serais con non ?

Bon maintenant il faut que je choisisse une destination la chose la plus dure.... quelque part dans Ethéras euhh non, le désert non oublie n'y pense même pas, l'île de la pomme euhh non euhh en faite pourquoi pas. Voilà direction l'ile de la pomme il y a les filles, la plage, les filles, le soleil, les filles, la boisson les filles. Et là je me mets une claque pourquoi je me mets une claque moi je suis fou à non c'est vrai j'ai décidé de devenir sérieux et voilà que je pense à toutes ces femmes charmantes qui ont besoin de moi pour briser leur coeur pour que l'homme de leurs vies viennent le réparer... bon ok j'invente une excuse. Bon direction l'aéroport parce que là je réfléchis trop et ça devient grave, vive les vacances et qui sait peut-être que je me reposerais au lieu de m'amuser... euh non là je rêve.

Une fois arrivée à l'aéroport tout le tralala qui casse les pieds, oui il casse mes beaux pied c'est énervant. Bon une fois tout fini je monte dans l'avion et là une paupière se ferme l'autre oeil loucher sur une hôtesse de l'air, bon ok je me mets une claque et là il se ferme et je m'endors. Je prends place au pays des rêves et je vois la femme qui m'avait un jour pris mon coeur, mais qui est partie avec sans revenir oui cette petite journaliste pour mon coeur je l'ai retrouvé dans une poubelle avec une bouteille de vodka ça ne m'étonne pas du tout. Après quelque heure de vol l'avion atterrit et on me réveille je sors et la surprise... pas un seul journaliste à l'horizon et un soleil qui frappe ça promet un après-midi magnifique ça.

Je quitte mon t-shirt il faisait trop chaud et je cours jusqu'à la plage espérant tomber sur une multitude de femme et je vois quoi une fois arrivé sur place à votre avis ... beh non je ne trouve rien il y a seulement quelque personne sur le bord de la plage. C'est la merde je vais m'amuser comment moi... tu sais quoi je vais marcher le long de la plage pour tomber sur une charmante demoiselle qui viendrait ou j'irais vers elle .... encore il faut la trouver !

"les gens ils foutent quoi avec un soleil magnifique comme cela il faut profiter "

Finalement je ne rêve peut-être pas il est possible que je ne m'amuse pas et que je me repose

Et hop, vacances ! Après la mission à Felicia, le massacre qui s'y était passé et les nombreuses blessures de notre petite soigneuse, le Capitaine avait décidé de la mettre de forces en vacances pour qu'elle arrête de faire 'importe quoi et de se faire blesser à chaque fois. Et de toute manière, Elva avait besoin de repos. Ben elle s'était quand même fait bouffer l'épaule par un bestial, et il lui restait une jolie marque pas prête de s'effacer. Et le Capitaine avait été intransigeant sur la destination: l'île de la pomme. Le soleil et du repos feraient le plus grand bien à notre Elva adorée.

- Et mes affaireeeeeeeeeeeeeeeeees !

Ses propres hommes, les traitres!, l'avaient balancée dans un bateau direction île de la pomme sans même lui laisser le temps de prendre des affaires. Elle n''avait même pas eu le temps de récupérer son katana, en réparation car la lame était ébréchée. Elle se retrouva donc sur l'île de la pomme sans même un porte-monnaie. Baka de Capitaine, baka de crétins d'hommes stupides ! Elva était quand même d'humeur espiègle, et un camarade de la section 1 qui passait en mission en fit les frais. Il ne s'aperçut sûrement que tard dans la journée qu'il n'avait plus de porte-monnaie. Normal, c'est Elva qui l'avait maintenant.

Notre petite ''emprunteuse '' de sousous passa donc une demi-journée à faire les emplettes nécessaires à une bonne semaine de vacances sur sa deuxième île préférée. Ben oui, la deuxième, après Felicia, ou elle avait une résidence des plus charmantes. Elva alla poser ses emplettes dans une chambre d’hôtel grâce à la bourse bien rebondie, et décida d’enfiler un maillot et d'aller embêter des méduses. Ben oui, les méduses, c'est sympa comme bestiole !

Arrivée à la plage par un soleil magnifique elle vit ... trois paumés qui mettaient même pas les pieds dans l'eau. Non mais depuis quand on se baigne pas avec un temps pareil, la plage aurait dût être bondée ! Bon ben tant mieux, ça ferai plus de place ! Elva balança sa serviette en boule au bord de l'eau et plongeât dans les vagues, effectuant une magnifique bombe, trempant au passage sa serviette. Mais bon, elle s'en moquait. Parce qu'elle venait de localiser un ban de méduses. Elle fonça aussitôt en plein milieu. Elle sortit trois fois de l'eau avec des méduses accrochées aux bras et aux jambes avant de se décider à arrêter de jouer avec le feu. Ben oui, les piqures de méduse, ça brûle.

Chaud, chaaaaaaaud ! Aïe ! Elva dormait depuis deux bonnes heures en plein soleil .. et commençait à ressembler à une tomate. Pas de coups de soleil mais pas loin du tout. Elle retourna plonger un coups avant de se recoucher. Elle s'endormait quand une voix lointaine se fit entendre. Une voix qui lui rappelait furieusement quelqu'un.

- "les gens ils foutent quoi avec un soleil magnifique comme cela il faut profiter "

Il lui fallut à peu près trois secondes pour mettre un nom sur cette voix: Urei ! Ça faisait longtemps qu'elle ne l'avait pas vu, depuis avant son entrée à la B-corps ! Elle se leva d'un bond, cherchant la source de la voix, et le vit non loin d'elle. Il semblait avoir le même problème qu'elle, autrement dit il ne comprenait pas lui non plus pourquoi si peu de monde se g=baignait ! Cool, ils étaient sur la même longueur d'ondes. Elva alla lui sauter dessus, notant au passage qu'il était super beau, torse nu, auréolé par le soleil.

- UREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEI ! Ça faisait super longtemps ! Comment tu vas? Et qu'est ce que tu fais là?